PARENT TALK N°5 : REBECCA, MAMAN ET ENTREPRENEUSE : TROUVER L'ÉQUILIBRE AU QUOTIDIEN

Peux-tu te présenter, ton prénom, ce que tu fais dans la vie ? Combien d'enfants as-tu?

Bonjour, je suis Rebecca, la cofondatrice de Yada, et j'ai deux petites filles, Angelina et Adèle. Yada est un réseau de maisons qui accompagne les familles, les futurs parents et les jeunes parents dans leur parcours de parentalité.

Qu'est-ce qui t'a motivée à créer Yada ?

On a créé Yada avec mon associée Solène quand nos enfants sont nés, donc Raphaël pour Solène et Angelina pour moi. On se posait plein de questions, on s'écrivait toute la journée, mais on n'avait pas les réponses. L'idée de Yada, c'est de créer des ponts entre les professionnels spécialisés en périnatalité, diplômés, et les familles qui se posent toutes ces questions.

As-tu des difficultés à jongler entre ta vie d'entrepreneuse et ta vie de maman ? 

Oui, c'est compliqué de jongler entre les deux. La chance que j'ai, c'est que je suis entourée de professionnels de la périnatalité toute la journée. Donc, j'ai plein de conseils qui m'aident à gérer un peu plus facilement le quotidien avec mes filles.

Comment as-tu vécu l'arrivée de ton bébé en plein lancement de ton entreprise ?

Effectivement, j'étais enceinte quand Yada a ouvert et j'ai accouché un peu moins de six mois après l'ouverture. Donc oui, c'était deux bébés en même temps : Adèle dans mon ventre et Yada, c'est presque comme un troisième bébé. Le gros avantage que j'ai, c'est que je pouvais emmener Adèle ici pour ses rendez-vous d'ostéo, son bain de thalasso, l'expérience massage bébé. J'ai vraiment vécu l'expérience Yada en tant que maman et patiente, et cela a facilité mes premiers mois avec Adèle.

En tant que cheffe d'entreprise dans le domaine du bien-être bébé, comment l'arrivée de ton enfant a-t-elle influencé ta vision de ton travail et tes priorités ?

L'arrivée de mes filles, et d'Adèle qui a 10 mois aujourd'hui, a clairement influencé à la fois l'offre que l'on propose chez Yada et notre mode d'organisation avec toutes les personnes qui travaillent ici. Mon expérience personnelle m'a aidée à mieux définir l'offre et à mieux adapter ce que nous proposions aux parents, l'ayant vécue moi-même.

Et mon associée a aussi eu un petit garçon, Abel, qui a deux mois de moins qu'Adèle. Les prénoms sont presque les mêmes ! Cela nous a vraiment permis d'adapter l'offre et de mieux comprendre quelles étaient les questions que l'on se posait à la naissance, à un mois, à trois mois, à six mois…

Reprendre le travail avec un nouveau-né demande une très bonne organisation. Quelles ont été tes astuces pour ne pas perdre pied ?  

Je pense qu'il est effectivement important de bien délimiter le pro et le perso, et c'est tout bête, mais ne pas utiliser, par exemple, les mêmes canaux de discussion quand on parle du pro et quand on parle du perso.

Du coup, on délimite vraiment chaque moment. C'est aussi savoir lâcher prise quand il le faut. Être capable de couper quand on est avec ses enfants, et savoir être flexible quand on en a besoin. Surtout lorsqu'il y a des urgences avec les enfants. Il faut toujours garder un peu cette flexibilité par exemple ce matin, je n'ai pas travaillé parce que je devais aller chez le pédiatre, mais je rattraperai un autre moment. Et c’est OK, de ne pas travailler un jour, on rattrapera un moment ou un autre.

Quels soins Amour Tempête utilisez-vous chez Yada ?

Chez Yada, on utilise l'Huile Amour Tempête pour les massages prénataux pour les femmes enceintes, pour les massages bébés et pour nos soins rebozo, donc aussi en postpartum.

Chez toi, à la maison, c'est plutôt amour ou tempête avec tes enfants ?

À la maison, c'est plutôt amour. Un peu de tempête vers 18h30-19h, mais globalement, c'est plutôt amour.